QUELLES SONT LES CONTRE INDICATIONS À L’IMPLANTOLOGIE ?

Les contre-indications absolues à l’implantologie sont des situations dans lesquelles l’implantologie est formellement contre-indiquée, car elle pourrait entraîner des complications graves ou même mortelles.

Voici quelques exemples de contre-indications absolues à l’implantologie :

• Les infections systémiques actives, telles que la tuberculose, le VIH ou l’hépatite.
• Les maladies auto-immunes, telles que la polyarthrite rhumatoïde ou le lupus.
• Les maladies cardiaques graves, telles que l’insuffisance cardiaque ou les troubles du rythme cardiaque.
• Les maladies pulmonaires graves, telles que l’emphysème ou la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).
• Les maladies neurologiques graves, telles que la maladie de Parkinson ou la maladie d’Alzheimer.
• Les cancers, en cours de traitement ou en phase de rémission.
• Les grossesses.
• Les troubles psychiatriques graves, qui pourraient interférer avec le suivi postopératoire.

Si vous présentez l’une de ces contre-indications absolues, vous ne devez pas subir d’implantologie.

Voici quelques exemples de contre-indications relatives à l’implantologie :

• Les maladies parodontales graves, qui nécessitent un traitement préalable avant la pose des implants.
• Les maladies buccales, telles que les caries ou les infections, qui doivent être traitées avant la pose des implants.
• La prise de certains médicaments, tels que les anticoagulants ou les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), qui peuvent augmenter le risque de complications.
• Le tabagisme, qui réduit les chances de succès des implants.
• L’alcoolisme, qui peut également réduire les chances de succès des implants.

Si vous présentez l’une de ces contre-indications relatives, votre dentiste ou votre implantologue évaluera votre cas individuellement pour déterminer si l’implantologie est une option adaptée pour vous.